Ex-Libris
EDITION TETRAS LYRE
Timoteo Sergoï / Audrey Lo Bianco
http://www.editionstetraslyre.be/product/suppositoire/
Extrait:
L’homme dont je rêve est un chapeau
Posé en l’air entre deux gouttes d’eau
Lancé en riant, dans un éclat sans bords coupants.
Couché sur le pavé, devant les saltimbanques qui s’habilleront de rêve et déchirent leur manteau
Ou vissé sur la tête, comme d’un vieux passant, pour protéger son front des coups des faux amours
Le poète dont je rêve est un ruban autour
WORKSHOP PORTUGAL
XIV Bienal internationale de villa Nova de Cerveira, Workshop de gravura grande formato, Novas Cruzadas, Portugal. (2007)
Ilse Frankenthal Stichting
La nouvelle poupée d'encre
Assemblage des calendriers (2014)
Participation au calendrier: 2006-2008-2015
http://www.lanouvellepoupeedencre.be/
Les calendriers
En 1992, la Poupée d’Encre était en sommeil- avatar habituel des groupes- Henrique Silva actuel directeur de la Bienal Internacional de Arte de Cerveira au Portugal (d’où nous revenons à peine) était alors directeur de la Cooperativa Artistica Arvore de Porto (je travaillais avec lui depuis plusieurs années) nous propose un échange entre ses élèves et ceux de l’atelier de gravure de l’Académie des Beaux-Arts de Liège.
Bien, enthousiasme MAIS il faut y aller. Sur place on sera logé et nourri, mais ici, il faudra loger et nourrir les Portugais.
Bon, trop compliqué, on n’a pas d’argent on n’y va pas !
Ce serait trop con, il faut trouver l’argent et l’idée vient d’un étudiant : éditons un calendrier avec des gravures, des vraies, des originaux quoi !
Et on l’a fait sans trop y croire…quel boulot !
Mais cela a marché : on a tous pris l’avion pour Porto, les Portugais ont pris le train sauf un qui me rappelait cet été être venu en stop !
En 93, on n’avait pas de projet coûteux, on n’a pas répété le calendrier (info importante pour les collectionneurs) mais en 94 on a repris et on n’a pas cessé, les réalisations non plus.
Bien, enthousiasme MAIS il faut y aller. Sur place on sera logé et nourri, mais ici, il faudra loger et nourrir les Portugais.
Bon, trop compliqué, on n’a pas d’argent on n’y va pas !
Ce serait trop con, il faut trouver l’argent et l’idée vient d’un étudiant : éditons un calendrier avec des gravures, des vraies, des originaux quoi !
Et on l’a fait sans trop y croire…quel boulot !
Mais cela a marché : on a tous pris l’avion pour Porto, les Portugais ont pris le train sauf un qui me rappelait cet été être venu en stop !
En 93, on n’avait pas de projet coûteux, on n’a pas répété le calendrier (info importante pour les collectionneurs) mais en 94 on a repris et on n’a pas cessé, les réalisations non plus.
Dacos
Assemblage des calendriers (2014)
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